Partie III – Texyloop et le recyclage des toiles usées

En vue des enjeux climatiques sur notre planète, c’est le devoir de chacun d’entre nous que d’adapter ses gestes au quotidien. C’est donc à la charge de chaque entreprise de réfléchir et limiter l’impact environnemental de son activité. C’est l’idée de Serge Ferrari, qui a même été jusqu’à créer une filiale 100% dédiée au développement durable ! Cette dernière, qu’il a baptisée Texyloop, se charge d’étudier l’impact des toiles, sur l’environnement naturel, et sur notre santé. Elle est également à la recherche constante d’alternatives innovantes allant dans le sens de l’environnement. Avant tout, leur principale activité se concentre autour du recyclage des toiles usées ! En bref, dans tous les domaines de son activité, l’entreprise s’est assurée un développement pérenne grâce à sa capacité d’anticipation et d’innovation. Le Groupe maîtrise l’ensemble des métiers de la chaîne de production : filature, tissage, enduction et désormais via le procédé de recyclage, production de nouvelles matières premières.

C’est ainsi que Serge Ferrari évalue la performance sanitaire et environnementale de chaque matériau composite des toiles par le biais de 5 indicateurs : la précaution sanitaire, la qualité de l’air intérieur, l’empreinte environnementale, l’économie circulaire et les contenus renouvelables ! Ces 5 indicateurs sont ensuite classifiés en fonction de différents niveaux (cf. exemple ci-dessous). Le niveau « R » représente la réglementation minimale. Les niveaux « R+1, R+2… » représentent quant à eux les avancées volontaires allant au-delà des réglementations et des seuils minimum en vigueur. Active et volontaire, la filiale Texyloop n’est pour le moment que peu connue. Mais l’évolution des composites rend le secteur très concurrentiel et Texyloop prend de l’avance et peut espérer percer dans ce contexte !

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